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SORGHO ROUGE (LE)
Hong gao liang
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SORGHO ROUGE (LE)
Réalisation
: Yimou ZHANG
Photos : Gu Changwei- Couleurs Musique : Zhao Jiping Montage : Du Yuan Production : Studio de Xian
Comédiens : Gong Li, Jiang Wen, Teng Rujun, Lui Ji
1987 - Chine - VO - 110 min
Sortie le 08/06/2016
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Synopsis : Au début des années 30, dans un village du nord-est de la Chine. La jeune Jiu Er (Gong Li) est promise, en échange d’un âne, à un vieil homme lépreux propriétaire d’une ferme. Lors du voyage en palanquin, la jeune femme est victime d’une tentative de rapt mais est sauvée par Yu Zhanao (Jiang Wen), l’un des porteurs. Une passion naît entre eux et après la mort de son mari, Jiu Er, qui a pris la direction de la ferme et de la distillerie de sorgho, épouse Yu avec qui elle a un fils. Quand la guerre éclate, les troupes japonaises envahissent le village, brûlant les récoltes et torturant les habitants.…
Une fresque lyrique et passionnée par l’auteur d’EPOUSES ET CONCUBINES, HERO, LE SECRET DES POIGNARDS VOLANTS et LA CITE INTERDITE.
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EDITION DVD
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Audio : Chinois (Mandarin)
Sous titres :
Format : 2:35 - 16/9
Infos supplémentaires : ZONE 2 - PAL - compatible 4/3
Date de sortie : 30/05/2014
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« Le sorgho rouge est un film proche de la peinture, une peinture de la cruauté, de la passion, des chairs qui se déchirent. Cela n’est pas étonnant lorsqu’on sait que Zhang Yimou a été le directeur de la photographie des premiers films de ce qu’on appellera la « 5ème génération » (celle d’après la Révolution culturelle, née dans les années cinquante et dont « l’éducation » n’a pu être terminée), dont le leader est Chen Kaige. Le sorgho rouge correspond à ses options originales : faire un cinéma intégré dans la réalité de la culture et de l’histoire de la Chine, respectant les traditions tout en traitant les personnages de manière individuelle, en montrant leurs sentiments et même la passion. A Berlin, le rouge du Sorgho s’est mêlé à l’Or, celui de l’Ours, récompense suprême, affirmant la vitalité d’un cinéma chinois en train de renaître. » (Révolution)
« Enfin un film chinois où les personnages s’empiffrent et se saoulent, roulent dans la luzerne (ou les champs de sorgho) et s’étripent avec entrain. Enfin du cinéma digne de la grande littérature chinoise, littérature de vivants et de viveurs, où on ne craint pas d’appeler un chat, un chat, voire un putain de matou. Tout est rouge dans « Le sorgho », sauf l’idéologie. Somptueusement rouge, la terre que l’on travaille et l’alcool dont on s’enivre, la colère de l’amant délaissé et le sang des victimes de l’envahisseur japonais. Zhang Yimou trouve pour sa première réalisation l’exacte formule qui mêle la chronique à l’épopée. Et envoûte comme le vent fou sur la mer infinie des champs de sorgho. » (Pariscope) |
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