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Sortir au Cinéma avec
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ROI DES SINGES (LE)
Danao tiangong
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ROI DES SINGES (LE)
Réalisation
: Lai-ming WAN
Scénario : Wan Lai-ming, Li Keruo Photos : Wang Shizong, Duan Xiaoxuan - Couleurs Musique : Wu Ying-chu Montage : Xu Zhanzhu Décors : Zhang Guangyu Production : Studios de Shanghai
Comédiens :
1964 - Chine - VF - 105 min
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Synopsis : Sun Wukong, le Roi des singes, règne sur la paisible montagne des fleurs et des fruits. Désireux de trouver une arme digne de lui, il se rend auprès du Roi Dragon des mers orientales qui accepte de lui céder la règle magique à dompter les flots s’il peut s’en saisir. Mais la règle soutient le palais qui s’écroule, et le Roi va demander vengeance à l’Empereur de Jade qui règne sur la cour céleste. Pour le tromper, l’Empereur invite Sun Wukong et le nomme chef de ses écuries. Mais Sun délivre les chevaux et vainc son supérieur. L’Empereur lui envoie alors ses meilleurs guerriers, qui sont aussi battus. Recourant à nouveau à la ruse, il confie à Sun Wukong la garde du verger de la Reine de l’Occident. Mais le Roi des singes n’est pas dupe et pour se venger de cette humiliation, il mange les pêches d’immortalité et va saccager le palais impérial. Fait prisonnier par traîtrise et condamné à mort, il échappe pourtant à tous les supplices et finit par détruire le Palais céleste.
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EDITION DVD
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Audio :
Sous titres :
Format : 1:33 - 4/3
Infos supplémentaires : ALL ZONE - PAL -
Date de sortie : 13/08/2008
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Inspiré par sept chapitres de l’un des grands classiques de la littérature chinoise (Le Voyage vers l’Occident / La Pérégrination vers l’Ouest, de Wou Tcheng-en, écrit au XVIème siècle), Le Roi des singes est un film merveilleux de beauté formelle, de rythme et de drôlerie. L’animation très fluide, d’un dynamisme encore renforcé par le parti-pris des cadrages en plongée ou en contre-plongée, met en valeur la splendeur d’une palette de couleurs très étendue et nuancée. Les décors sont très poétiques, rappelant la peinture classique chinoise. La musique, composée essentiellement d’instruments traditionnels, soutient et rythme constamment l’action, avec une prépondérance des percussions. Les gestes, vêtements, attributs des personnages, très codifiés, sont ceux de l’Opéra de Pékin, et leurs mouvements composent une véritable chorégraphie. Le film allie ainsi avec efficacité le meilleur de la tradition et du modernisme. (La Revue du Cinéma) |
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