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Sortir au Cinéma avec
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INTENDANT SANSHO
Sansho dayu
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INTENDANT SANSHO
Réalisation
: Kenji MIZOGUCHI
Scénario : Photos : Kazuo MIYAGAWA - N&B Musique : Fumio Hayasaka Montage : Mitsuzo Miyata Production : Masaichi Nagata
Comédiens : Kinuyo Tanaka, Ryosuke Kagawa, Yoshiaki Hanayagi, Kyoko Kagawa, Eitaro Shindo
1954 - Japon - VO - 124 min
Sortie le 29/04/2015
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Synopsis : Le Japon du 11ème siècle. Un gouverneur de province est exilé pour avoir défendu les paysans contre les autorités féodales. Quelques années plus tard, sa femme Tamaki, sa fille Anju et son fils Zushio sont kidnappés en cherchant à le rejoindre. Tamaki est déportée sur une île, alors que les enfants sont jetés dans un camp d’esclaves commandé par l’impitoyable intendant Sansho. Dix ans plus tard, Zushio, amer, a oublié les idéaux de compassion de son père mais Anju l’exhorte à ne pas devenir comme Sansho. Anju apprend alors que leur mère pourrait être vivante, et elle prépare un plan d’évasion pour Zushio…
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EDITION DVD
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Audio : Japonais
Sous titres :
Bonus : Format : 1:33 - 4/3
Infos supplémentaires : ALL ZONE - PAL -
Date de sortie : 11/01/2008
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« Par-delà les tragédies individuelles et collectives, ce film constitue un véritable poème cinématographique où les vertus humaines chères au cinéaste, le courage, la tolérance, la justice et la dignité se trouvent exaltées dans une forme dont la finesse et la subtilité demeurent bouleversantes. Il y a dans L’Intendant Sansho, comme dans tous les grands films de Mizoguchi, une spiritualité immanente à la réalité des êtres et des choses, de sorte que la mise en scène se fait liturgie.» (Le Figaro)
« Poème barbare, et pourtant d'une délicatesse triomphante, film dur et brutal, et pourtant d'une étonnante douceur dans la dureté et dans la brutalité, L'Intendant Sansho ouvre sans cesse des perspectives mystérieuses, que la perfection de ses images, le raffinement de leur composition, et la franchise de leurs traits, accusent encore plus profondément. C'est un film dans lequel on s'enfonce, comme dans un tableau de primitif ; c'est un film où la profondeur de champ et le bercement d'une caméra attentive au malheur des hommes et à l'innocence de l'univers qui les porte prennent une valeur royale ; c'est un des films les plus purs que nous ait donnés le cinéma. » (Pierre Marcabru - Combat)
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