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      C'ETAIENT DES HOMMES
    THE MEN
    C'ETAIENT DES HOMMES - film de Zinnemann

    C'ETAIENT DES HOMMES

    Réalisation : Fred ZINNEMANN
    Scénario : 
    Carl Foreman
    Photos : 
    Robert De Grasse _ N&B
    Musique : 
    Dimitri Tiomkin
    Montage : 
    Harry Gerstad
    Décors : 
    Rudolph Sternad

    Comédiens : Marlon Brando, Teresa Wright, Everett Sloane, Jack Webb, Arthur Jurado

    1950 - Etats-Unis - VO - 88 min
    Synopsis : 

    NOMINATION A L’OSCAR DU MEILLEUR SCÉNARIO 


    Blessé durant la guerre et resté paralysé au-dessous de la ceinture, Ken Wilczek (Marlon Brando) est soigné dans un hôpital pour paraplégique. Incapable d’accepter son état, il refuse de voir Ellen, sa fiancée. Lorsqu’elle réussit à le rencontrer, Wilczek refuse ce qu’il considère comme de la pitié. Pourtant, après sa visite, il se livre à une rééducation harassante et accepte de se marier. Mais rien n’est encore gagné pour le jeune couple...



    EDITION DVD
    Audio : Anglais
    Sous titres : 
    Format : 1:33 - 4/3
    Infos supplémentaires : ALL ZONE - PAL -

    Date de sortie : 18/07/2012


    « Quand Brando arriva sur le tournage de ce qui était son premier film, il était sur la défensive. Il s’identifiait toujours à Stanley Kowalski, qu’il venait d’interpréter au théâtre dans Un tramway nommé désir, et cela influença son jeu. Il était fascinant de voir jusqu’où les acteurs de la « Méthode » pouvaient se fondre dans leurs personnages et combien de temps il leur fallait pour redevenir eux-mêmes. Brando se prépara en passant trois semaines – jour et nuit – à vivre avec les hommes d’un hôpital pour paraplégiques. Il découvrit non seulement comment ils se déplaçaient et se comportaient, mais aussi ce qu’ils ressentaient et pensaient. Petit à petit, ils l’acceptèrent comme un des leurs et il devint l’un deux. Il partageait leur physiothérapie, jouait au water-polo et se soûlait avec eux. Rapidement, seul un docteur ou une infirmière aurait pu deviner qu’il n’était pas paraplégique.» (Fred Zinnemann – An Autobiography)

     

     

    « Le film a été tourné parmi des paraplégiques anciens combattants, et avec leur concours. Le récit procède par touches d’observations, d’une sûreté et d’une saveur enviables, sans épisodes superflus. Le rythme du récit est aussi dépouillé que sa structure, et il bannit tout attendrissement facile, tout recours au mélo. Mieux même. Le dialogue, à peu près uniformément admirable, procède le plus souvent par touches d’humour extra-sec. En vérité, des hommes, qui mesurent leur détresse, et la dominent. L’authenticité bouleversante et rigoureuse de cette œuvre impose de la recommander sans réserve à tous les spectateurs adultes. » (Jean Queval – Radio Cinéma)       




     

          
     
     
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