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Sortir au Cinéma avec
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AMANTS CRUCIFIES (LES)
Chikamatsu monogatari
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AMANTS CRUCIFIES (LES)
Réalisation
: Kenji MIZOGUCHI
Scénario : Photos : Kazuo Miyagawa _ N&B Musique : Fumio Hayasaka Montage : Kenji Sugawara Production : Masaichi Nagata
Comédiens : Kazuo Hasegawa, Kyoko Kagawa, Eitaro Shindo
1954 - Japon - VO - 100 min
Sortie le 20/08/2014
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Synopsis : Kyoto au 18ème siècle. Osan, l’épouse du grand imprimeur du Palais Impérial, demande à Mohei, l’employé préféré de son mari, de lui consentir un prêt pour aider sa famille. Mohei, qui aime en secret Osan, veut utiliser le sceau de l’imprimeur pour obtenir cet argent. Son projet frauduleux découvert, Mohei se dénonce à son patron. Mais suite à un concours de circonstances, Osan est surprise aux côtés de Mohei. Compromise mais irréprochable, lassée des infidélités de son mari, Osan préfère quitter son foyer. Mohei fuit avec elle, et va être amené, malgré leur différence de classe, à lui déclarer son amour…
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EDITION DVD
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Audio : Japonais
Sous titres :
Bonus : Format : 1:33 - 4/3
Infos supplémentaires : ALL ZONE - PAL -
Date de sortie : 11/01/2008
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« Utilisant avec un art raffiné toutes les ressources de l’image noire et blanche, Mizoguchi raconte cette histoire avec une extraordinaire maîtrise et en fait ressortir la simplicité tragique. Les gestes sont toujours empreints d’une grande noblesse, les sentiments exprimés avec une extrême pudeur. Osan reste, dans ses kimonos du 17ème siècle, une femme vivante, simple et vraie, où l’on reconnaît l’universalité, l’humanité profonde du talent de Mizoguchi. » (Le Monde)
« Intensément heureux et malheureux, les « amants crucifiés » transgressent les lois de leur univers social et sont au-delà de tout jugement. Ils apparaissent comme les seuls vrais êtres vivants du film et, à ce titre, exercent une fascination aussi bien sur les autres personnages de l’intrigue que sur le spectateur. L’art, la certitude, l’acharnement tranquille avec lesquels Mizoguchi met en œuvre cette fascination dans les cadrages, le grain de la photo ou le jeu des interprètes font de lui le cinéaste par excellence ; une sorte d’égal, de contemporain dans l’éternité d’un Goethe ou d’un Shakespeare. » (Jacques Lourcelles – Dictionnaire du cinéma) |
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